Les Lettres DUne Libertine Le Pari (Partie 2/4)
A ma sortie, le sol était balisé par des bougies chauffe plat, petit chemin lumineux me permettant de traverser le salon obscure sans allumer la lumière. Cétait voulu, préservant certainement le secret de la zone où je devinais le mobilier habituel mais comme recouvert de drapés noirs.
Il avait remis le tablier dnologue et préparait le plat. Il minvita à massoir et je ne pu mempêcher de lembrasser langoureusement en lui tenant le visage. Il versa à nouveau du champagne dans les deux coupes et nous nous abreuvâmes en silence, seul les bruits de cuisson accompagnait la douceur de la situation. Face à moi trônait la roue, laguille me rappelant les jeux deau que je venais de vivre avec grand plaisir mais également ravivant linquiétude des thèmes restant.
Le plat fut divin, il avait cassé sa cave dans la partie « intouchable ». Le vieille vigne alsacien de haute volée se mariait divinement bien au filet de bar braisé au safran, accompagné de girolles de lété dernier. Et même sil cuisinait rarement il avait un don pour moffrir des choses magnifiques lors de ces rares moments de chef-cuisinier.
Le silence semblait être de mise : à chacune de mes velléités de parler, il posait un doigt devant ses lèvres en me disant « laisse vivre tes sens ! ».
Il se leva juste après ma dernière gorgée de son nectar alsacien. Et pris la liberté de faire tourner lui-même la roue. Je tressaillais lorsque celle-ci sarrêta sur « partenaire surprise ». Je paniquais car même si javais toujours rêvé de faire lamour avec une autre femme mais je nétais pas prête pour que lui le fasse avec elle devant moi. Et je ne me voyais pas aussi accueillir en moi la queue dun autre homme là maintenant sans connaitre celui-ci et sans avoir des affinités de couple avec lui. Je protestais et une nouvelle fois il moffrit un bandeau avec autorité. Je navais donc pas le choix et ma carte blanche semblait devoir se retourner contre moi. Le pari mapparaissait comme cher payé à cet instant.
Il mentraina avec lui, me poussant devant vers les escaliers montants à létage. Sa petite lanterne éclairait létage me donnant limpression de ne pas connaitre le lieu. Un bandeau était sur la poignée de la porte entre-ouverte. Il mindiqua que je devais le mettre. Y avait-il une personne qui attendait là dans le noir de notre chambre, dans notre lit ? Il avait donc osé franchir le pas que je me refusais à faire. Je lui en voulais beaucoup de mavoir prise au piège sans avoir le droit de me dédire. Il connaissait mon honnêteté et savait que je ne reviendrais pas sur ma parole quoi quil arrive.
Je me bandais donc les yeux avec un agacement certain et je voulais quil le remarque. Bizarrement cela le fit sourire avec une certaine mesquinerie ! Je notais dans un dernier regard que monsieur était très excité davance par ce qui mattendais dans la pièce.
Il devint ainsi mes yeux, poussa la porte et me guida, nos deux mains réunies. Javançais prudemment. Je butais sur un matelas par terre. Pascal me demanda de ma mettre en levrette avec des coussins sous ma poitrine pour ne pas trop tirer sur ma colonne. Jétais là offerte à je ne sais pas qui. Il y eu une pause et des murmures, que je nentendais pas bien du fait du bandeau.
Puis, une main se posa sur mon fessier et encore une seconde à lopposé et enfin, un souffle chaud sur ma fente. Une langue très gourmande et délicate le lança à lassaut de mon gouffre aux plaisirs. Le propriétaire de cette langue agile était particulièrement doué et très rapidement jeu un orgasme me libérant de toute inquiétude. Je ruisselais entre la salive et ma propre mouille. La langue remonta sur mon anus et lon minséra un godemiché dans la chatte. Le plaisir insinue remontait dans mon bas ventre
très excitant cet inconnu qui vous offre un plaisir manuel. Je cherchais avec ma main devant pour sucer Pascal, sachant que cette situation faisait partie de ses fantasmes. Mais personne. Il devait être aux cotés de lautre homme à le guider.
Puis la langue quitta mon anus et le gode fut manié avec virilité, ce qui me surpris mais ne me déplu pas le moins du monde. Je montais de nouveau dans les tours et je sentais poindre lorgasme vaginal, le gode frottant mon point G. Alors que jétais au bord de lexplosion, un temps darrêt fut marqué et je sentis un gland se présenter devant mon petit trou. En temps normal jaurais refusée. Même Pascal ya rarement droit et un inconnu dautant plus.
La bite poussa avec délicatesse mais fermeté. Excitée et trempée comme jétais, le membre dune grosseur normale passa les sphincters sans difficultés apparentes. Il vint se caler en parallèle au gode que javais conservée dans le minou. Dieu que cétait bon de se sentir remplie, vraiment remplie. Je regrettais que Pascal nait pas pensé à remplacer le gode pour avoir la texture dune bite bien chaude dans le minou.
Cétait un vrai fantasme que je vivais là. Je lavais avoué à Pascal très récemment. Celui de vivre une double pénétration tout en suçant un 3ième homme qui se viderait dans ma bouche au moment où je jouirais. On y était presque et jespérais que mon majordome de la soirée aurait la bonne idée de présenter son membre au bon moment.
Pour linstant les deux sexes coulissaient dans mes orifices avec douceurs et sensualité. Du gel un peu froid avait été ajouté et ce chaud-froid, mavait bien plu. Parfois en même temps, parfois lun après lautre mais les deux tiges memplissaient de concert. Je vibrais et jetais littéralement mon fessier à leur rencontre. Je décidais de prendre en charge le rythme et mempalait, au rythme de la montée du plaisir sur les queues. Dieu que cétait trop bon, vraiment trop bon !
Jai jouie dune force très rarement atteinte et pourtant jai quelques heures de vol en la matière. Ma mouille coulait sur mes jambes à moins que cela soit le sperme de linconnu. Je nai pas suivi sil avait obtenu ou pas du plaisir, tellement concentrée sur le mien.
Le gode se retira aussi de mon minou, une main constata les dégâts en passant sur la fente très distendue et lanus encore moitié ouvert.
Mes yeux shabituèrent à la pénombre qui régnait. Javais la vue brouillée davoir gardé celui-ci aussi longtemps. Mon rimmel avait du couler, quel gâchis. Puis je me retournais. Pascal étais là, un godemichet dans la main et sa queue entrain de débander. Il me présenta de sa voix de majordome, Jacky, le godemichet à mon service me dit-il. Mon partenaire supplémentaire précisa t-il avec une pointe de mesquinerie dans la voix.
Il me demanda si javais apprécié ce moment plein de fantasmes. Jindiquais que oui, beaucoup mais jy avais mis une pointe de déception certaine. En fait, ce soir là, jaurais adoré quil me force à passer la ligne rouge et je me rendis compte que jétais vraiment prête à le faire.
Il me désigné une tenue et une lingerie sur un coffre en bois. « Habilles toi, et suit les bougies
je tattends ».
Je filais aux toilettes et pris une petite douche rapide dans la salle deau toute proche.
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